Titre : | Le dernier arbre | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Tim Gautreaux (1947-....), Auteur ; Jean-Paul Gratias, Traducteur | Editeur : | Paris : Editions du Seuil | Année de publication : | DL 2013 | Importance : | 1 vol. (410 p.) | Présentation : | jaquette ill. en coul. | Format : | 22 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-02-108273-9 | Prix : | 22 EUR | Index. décimale : | R Roman Adultes | Résumé : | Randolph, fils d'un riche négociant en bois de Pittsburgh est expédié par son père en Louisiane pour y récupérer son aîné Byron, qui fait office de constable dans une exploitation forestière perdue au milieu des marais. Les ouvriers sont rongés par les fièvres et l?alcool, et Byron, moralement dévasté par son expérience de la Première Guerre en Europe. Un misérable saloon tenu par des Siciliens (la Mafia étend son bras tout-puissant jusqu'aux bayous) catalyse la violence et le manque d'espoir de ces hommes coupés du monde. Tandis que Byron règle les problèmes à coups de feu et de poing, Randolph, lui, croit encore aux vertus du dialogue et de la diplomatie pour maintenir l'ordre dans la "colonie".
Plus approche le moment où le dernier arbre sera coupé, et les ouvriers renvoyés chez eux aussi pauvres qu'ils étaient arrivés, plus l'on doute de voir Randolph ramener son frère à la civilisation et à la raison.
Grand roman « sudiste » sur la fraternité et la paternité, mais aussi sur l'impitoyable capitalisme des années 20 dans une Amérique ivre de progrès technique. Un pays où être un bon citoyen, c?est être riche, ce qui signifie que celui qui possède l'argent est aussi celui qui dicte la loi.
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Le dernier arbre [texte imprimé] / Tim Gautreaux (1947-....), Auteur ; Jean-Paul Gratias, Traducteur . - Paris : Editions du Seuil, DL 2013 . - 1 vol. (410 p.) : jaquette ill. en coul. ; 22 cm. ISBN : 978-2-02-108273-9 : 22 EUR Index. décimale : | R Roman Adultes | Résumé : | Randolph, fils d'un riche négociant en bois de Pittsburgh est expédié par son père en Louisiane pour y récupérer son aîné Byron, qui fait office de constable dans une exploitation forestière perdue au milieu des marais. Les ouvriers sont rongés par les fièvres et l?alcool, et Byron, moralement dévasté par son expérience de la Première Guerre en Europe. Un misérable saloon tenu par des Siciliens (la Mafia étend son bras tout-puissant jusqu'aux bayous) catalyse la violence et le manque d'espoir de ces hommes coupés du monde. Tandis que Byron règle les problèmes à coups de feu et de poing, Randolph, lui, croit encore aux vertus du dialogue et de la diplomatie pour maintenir l'ordre dans la "colonie".
Plus approche le moment où le dernier arbre sera coupé, et les ouvriers renvoyés chez eux aussi pauvres qu'ils étaient arrivés, plus l'on doute de voir Randolph ramener son frère à la civilisation et à la raison.
Grand roman « sudiste » sur la fraternité et la paternité, mais aussi sur l'impitoyable capitalisme des années 20 dans une Amérique ivre de progrès technique. Un pays où être un bon citoyen, c?est être riche, ce qui signifie que celui qui possède l'argent est aussi celui qui dicte la loi.
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Le dernier arbre
Randolph, fils d'un riche négociant en bois de Pittsburgh est expédié par son père en Louisiane pour y récupérer son aîné Byron, qui fait office de constable dans une exploitation forestière perdue au milieu des marais. Les ouvriers sont rongés par les fièvres et l?alcool, et Byron, moralement dévasté par son expérience de la Première Guerre en Europe. Un misérable saloon tenu par des Siciliens (la Mafia étend son bras tout-puissant jusqu'aux bayous) catalyse la violence et le manque d'espoir de ces hommes coupés du monde. Tandis que Byron règle les problèmes à coups de feu et de poing, Randolph, lui, croit encore aux vertus du dialogue et de la diplomatie pour maintenir l'ordre dans la "colonie".
Plus approche le moment où le dernier arbre sera coupé, et les ouvriers renvoyés chez eux aussi pauvres qu'ils étaient arrivés, plus l'on doute de voir Randolph ramener son frère à la civilisation et à la raison.
Grand roman « sudiste » sur la fraternité et la paternité, mais aussi sur l'impitoyable capitalisme des années 20 dans une Amérique ivre de progrès technique. Un pays où être un bon citoyen, c?est être riche, ce qui signifie que celui qui possède l'argent est aussi celui qui dicte la loi.
Gautreaux, Tim (1947-....) -
Paris : Editions du Seuil - DL 2013
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