Titre : | Eloge du voyage à l'usage des autistes et de ceux qui ne le sont pas assez | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Josef Schovanec, Auteur | Editeur : | Paris : Plon | Année de publication : | 2014 | Importance : | 248 p | Format : | 22 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-259-22223-5 | Prix : | 18,50 eur | Catégories : | Art et culture:Littérature:Par genre (sélection):Récits de voyage et d'exploration Autisme -- Récits personnels
| Index. décimale : | 616.85 Dépression nerveuse. Anorexie | Résumé : | "Hier soir, à l'heure où le soleil venait de se coucher derrière les monts du Caucase, où la poignée de maisons de Nakalakari plongeait dans le silence des nuits encore plus éloquent que celui des jours, où le ciel étoilé des lieux reculés dressait son décor, une amie m'a évoqué par SMS la foule du métro parisien. Contrastes. Ayant pourtant, ô combien de fois, personnellement enduré l'épreuve, je ne parvenais tout simplement plus à la ressentir, à l'imaginer. Incapacité d'imaginer, dans le présent contexte culturel, ce que le métro parisien peut représenter. Trop loin, trop étrange, trop martien." |
Eloge du voyage à l'usage des autistes et de ceux qui ne le sont pas assez [texte imprimé] / Josef Schovanec, Auteur . - Paris : Plon, 2014 . - 248 p ; 22 cm. ISBN : 978-2-259-22223-5 : 18,50 eur Catégories : | Art et culture:Littérature:Par genre (sélection):Récits de voyage et d'exploration Autisme -- Récits personnels
| Index. décimale : | 616.85 Dépression nerveuse. Anorexie | Résumé : | "Hier soir, à l'heure où le soleil venait de se coucher derrière les monts du Caucase, où la poignée de maisons de Nakalakari plongeait dans le silence des nuits encore plus éloquent que celui des jours, où le ciel étoilé des lieux reculés dressait son décor, une amie m'a évoqué par SMS la foule du métro parisien. Contrastes. Ayant pourtant, ô combien de fois, personnellement enduré l'épreuve, je ne parvenais tout simplement plus à la ressentir, à l'imaginer. Incapacité d'imaginer, dans le présent contexte culturel, ce que le métro parisien peut représenter. Trop loin, trop étrange, trop martien." |
Eloge du voyage à l'usage des autistes et de ceux qui ne le sont pas assez
"Hier soir, à l'heure où le soleil venait de se coucher derrière les monts du Caucase, où la poignée de maisons de Nakalakari plongeait dans le silence des nuits encore plus éloquent que celui des jours, où le ciel étoilé des lieux reculés dressait son décor, une amie m'a évoqué par SMS la foule du métro parisien. Contrastes. Ayant pourtant, ô combien de fois, personnellement enduré l'épreuve, je ne parvenais tout simplement plus à la ressentir, à l'imaginer. Incapacité d'imaginer, dans le présent contexte culturel, ce que le métro parisien peut représenter. Trop loin, trop étrange, trop martien."
Schovanec, Josef -
Paris : Plon - 2014
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