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Auteur Marc Amfreville (1957-....)
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Lark et Termite / Jayne Anne Phillips (DL 2009)
Titre : Lark et Termite Type de document : texte imprimé Auteurs : Jayne Anne Phillips (1952-....), Auteur ; Marc Amfreville (1957-....), Traducteur Editeur : Paris : Christian Bourgois Année de publication : DL 2009 Importance : 1 vol. (424 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-267-02047-2 Prix : 26 EUR Index. décimale : R Roman Adultes Résumé : Juillet 1950, Corée du Sud ; 1959, Virginie occidentale : quelques dizaines de milliers de kilomètres et neuf ans séparent les deux temps de ce récit à quatre voix. S?y succèdent celle du soldat Leavitt, à l?agonie au fond d?un tunnel après le « malencontreux » pilonnage par les Américains d?une colonne de réfugiés alliés qu?il encadrait ; celle de Nonie, sa belle-s?ur, une femme solide et généreuse qui a élevé sa nièce et son neveu après la disparition de leur mère ; celle de Lark, une adolescente courageuse qui ne se résoudra jamais à laisser partir son jeune frère, Termite, handicapé mental et moteur, pour une institution spécialisée ; celle de Termite, enfin, qui relève plus d?une musique intérieure : presque aveugle, il fait preuve d?une sensibilité hors du commun, attentif au moindre bruissement.
La tempête qui se déchaîne sur la paisible bourgade fait écho au déluge de mitraille qui s?abattit sur l?Extrême Orient. Tous les mystères s?évanouissent à l?instant même où ils commencent à planer : paternités, filiations, secrets des solitudes et des existences aliénées.
C?est la puissance délicate d?une écriture tout en réverbérations et en frémissements que de réussir à ravauder le tissu déchiré de correspondances entre sensations tactiles, sonorités et couleurs. Traversé de résonances chimériques qui vont bien au-delà de la chronique entreprise, Lark et Termite suggère tout un univers inattendu de fluctuations entre ici et là, hier et aujourd?hui. Répondant à l?entrelacs de terre et d?eau provoqué par l?inondation, le tangible cède le pas à la magie en un lieu où s?abolit la frontière entre père et fils, animaux et humains, passé et avenir, vivants et disparus.
Jayne Anne Phillips est née en 1952 en Virginie. Elle publié son premier recueil de nouvelles, Black Tickets, en 1979, et son premier roman, Machine Dreams, en 1984. Dès ses débuts, elle est remarquée par Nadine Gordimer et saluée par la critique. Jayne Anne Phillips a enseigné à Harvard, au Williams College ainsi qu'à la Boston University. Elle enseigne actuellement à l?université d?Etat du New Jersey.
« Lark et Termite est extraordinaire et lumineux. Ce n?est pas du simple Jayne Anne Phillips. C?est quelque chose de bien plus extraordinaire, une prouesse surprenante d?imagination. C?est le meilleur roman que j?ai lu cette année. » (Junot Diaz)
« Ce roman est taillé comme un diamant, avec la même authenticité abrupte et des éclairs de lumière. » (Alice Munro)
« Quel beau roman que celui-ci ! Son histoire est si riche et complexe, si élégamment écrite, si tendre, si convaincante, si incroyablement touchante. Je peux déclarer sans réserve ni hésitation que Lark et Termite est de loin le meilleur roman que j?ai lu ces cinq dernières années ou presque. » (Tim O?Brien)
« Jayne Anne Phillips a l?âme d?une artiste universelle. Dans Lark and Termite, elle est à l?apogée de ses capacités. Elle pénètre avec une authenticité absolue et avec compassion dans les c?urs et les sensibilités des membres d?une famille étonnante, dont l?histoire qui se déroule au milieu du XXe siècle se projette profondément sur nos vies du début du XXIe siècle. C?est un roman majeur de l?un des meilleurs auteurs américains. » (Robert Olen Butler)
« Par un surprenant mélange de poésie hallucinatoire et de réalisme courageux, Phillips essaye d?expliquer la transcendance de l?amour, cette unité qui règne parmi les gens qui se dévouent corps et âme et qui se propage au-delà du monde rationnel. Alors que le roman avance vers un crescendo de révélations déchirantes et de confrontations brutales, Phillips nous surprend encore avec une touche déconcertante de mysticisme et un final qui mélange désespoir et triomphe, naïveté et intuition spirituelle, une démonstration saisissante de « la façon dont, à la vitesse de l?éclair, les choses peuvent aller bien ou mal ». » (Ron Charles, The Washington Post)
« Dans le nouveau roman de J.A. Phillips, complexe et profondément sensible, résonnent des échos de Faulkner, Woolf, Kerouac, Mc Cullers et des reportages de guerre de Michael Herr. Ces influences extrêmement disparates se fondent dans un tout incandescent et parfaitement original. [?] Les répétitions d?images et les leitmotivs mettent en relation les histoires de ces gens, donnant au roman une qualité musicale lancinante, même lorsqu?elles suggèrent l?existence de liens inconscients, presque magiques, entre des gens connectés par le sang, l?amour ou la mémoire. » (Michiko Kakutani, The New York Times)
« J.A. Phillips parvient à rendre réaliste ce qui semble impossible, avec une autorité telle que le lecteur ne met jamais en doute la véracité de ses mots. C?est l?alchimie de la grande fiction : le rêve fantastique qui est créé dans Lark et Termite est de ceux dans lesquels le lecteur entre sans même se retourner. » (Kathryn Harrison, The New York Times Book Review)
« Lark et Termite est une véritable ?uvre d?art, de cette littérature qui rend comparativement fades les autres romans, qui semble destinée à demeurer sur les étagères et dans le c?ur des lecteurs. [?] Ce n?est pas du réalisme magique, cela ressemble plus à ce que Toni Morrison et Louise Erdrich peuvent faire de mieux, utilisant le langage afin de découper de si près le c?ur humain que les différences entre nous sont effacées et que ne reste que ce qu?il y a de plus vrai. » (Malena Vatrous, The Wall Street Journal)
« J.A. Phillips écrit avec ses cinq sens, faisant attention - comme peu d?écrivains le font, à la vue, l?ouïe, le goût, le toucher et à l?odorat dans quasiment chaque phrase de son nouveau roman, extraordinaire et parfaitement construit. Une expérience de lecture forte, à la fois poétique et électrifiante. » (Heller Mc Alpin, Newsday)Lark et Termite [texte imprimé] / Jayne Anne Phillips (1952-....), Auteur ; Marc Amfreville (1957-....), Traducteur . - Paris : Christian Bourgois, DL 2009 . - 1 vol. (424 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 20 cm.
ISBN : 978-2-267-02047-2 : 26 EUR
Index. décimale : R Roman Adultes Résumé : Juillet 1950, Corée du Sud ; 1959, Virginie occidentale : quelques dizaines de milliers de kilomètres et neuf ans séparent les deux temps de ce récit à quatre voix. S?y succèdent celle du soldat Leavitt, à l?agonie au fond d?un tunnel après le « malencontreux » pilonnage par les Américains d?une colonne de réfugiés alliés qu?il encadrait ; celle de Nonie, sa belle-s?ur, une femme solide et généreuse qui a élevé sa nièce et son neveu après la disparition de leur mère ; celle de Lark, une adolescente courageuse qui ne se résoudra jamais à laisser partir son jeune frère, Termite, handicapé mental et moteur, pour une institution spécialisée ; celle de Termite, enfin, qui relève plus d?une musique intérieure : presque aveugle, il fait preuve d?une sensibilité hors du commun, attentif au moindre bruissement.
La tempête qui se déchaîne sur la paisible bourgade fait écho au déluge de mitraille qui s?abattit sur l?Extrême Orient. Tous les mystères s?évanouissent à l?instant même où ils commencent à planer : paternités, filiations, secrets des solitudes et des existences aliénées.
C?est la puissance délicate d?une écriture tout en réverbérations et en frémissements que de réussir à ravauder le tissu déchiré de correspondances entre sensations tactiles, sonorités et couleurs. Traversé de résonances chimériques qui vont bien au-delà de la chronique entreprise, Lark et Termite suggère tout un univers inattendu de fluctuations entre ici et là, hier et aujourd?hui. Répondant à l?entrelacs de terre et d?eau provoqué par l?inondation, le tangible cède le pas à la magie en un lieu où s?abolit la frontière entre père et fils, animaux et humains, passé et avenir, vivants et disparus.
Jayne Anne Phillips est née en 1952 en Virginie. Elle publié son premier recueil de nouvelles, Black Tickets, en 1979, et son premier roman, Machine Dreams, en 1984. Dès ses débuts, elle est remarquée par Nadine Gordimer et saluée par la critique. Jayne Anne Phillips a enseigné à Harvard, au Williams College ainsi qu'à la Boston University. Elle enseigne actuellement à l?université d?Etat du New Jersey.
« Lark et Termite est extraordinaire et lumineux. Ce n?est pas du simple Jayne Anne Phillips. C?est quelque chose de bien plus extraordinaire, une prouesse surprenante d?imagination. C?est le meilleur roman que j?ai lu cette année. » (Junot Diaz)
« Ce roman est taillé comme un diamant, avec la même authenticité abrupte et des éclairs de lumière. » (Alice Munro)
« Quel beau roman que celui-ci ! Son histoire est si riche et complexe, si élégamment écrite, si tendre, si convaincante, si incroyablement touchante. Je peux déclarer sans réserve ni hésitation que Lark et Termite est de loin le meilleur roman que j?ai lu ces cinq dernières années ou presque. » (Tim O?Brien)
« Jayne Anne Phillips a l?âme d?une artiste universelle. Dans Lark and Termite, elle est à l?apogée de ses capacités. Elle pénètre avec une authenticité absolue et avec compassion dans les c?urs et les sensibilités des membres d?une famille étonnante, dont l?histoire qui se déroule au milieu du XXe siècle se projette profondément sur nos vies du début du XXIe siècle. C?est un roman majeur de l?un des meilleurs auteurs américains. » (Robert Olen Butler)
« Par un surprenant mélange de poésie hallucinatoire et de réalisme courageux, Phillips essaye d?expliquer la transcendance de l?amour, cette unité qui règne parmi les gens qui se dévouent corps et âme et qui se propage au-delà du monde rationnel. Alors que le roman avance vers un crescendo de révélations déchirantes et de confrontations brutales, Phillips nous surprend encore avec une touche déconcertante de mysticisme et un final qui mélange désespoir et triomphe, naïveté et intuition spirituelle, une démonstration saisissante de « la façon dont, à la vitesse de l?éclair, les choses peuvent aller bien ou mal ». » (Ron Charles, The Washington Post)
« Dans le nouveau roman de J.A. Phillips, complexe et profondément sensible, résonnent des échos de Faulkner, Woolf, Kerouac, Mc Cullers et des reportages de guerre de Michael Herr. Ces influences extrêmement disparates se fondent dans un tout incandescent et parfaitement original. [?] Les répétitions d?images et les leitmotivs mettent en relation les histoires de ces gens, donnant au roman une qualité musicale lancinante, même lorsqu?elles suggèrent l?existence de liens inconscients, presque magiques, entre des gens connectés par le sang, l?amour ou la mémoire. » (Michiko Kakutani, The New York Times)
« J.A. Phillips parvient à rendre réaliste ce qui semble impossible, avec une autorité telle que le lecteur ne met jamais en doute la véracité de ses mots. C?est l?alchimie de la grande fiction : le rêve fantastique qui est créé dans Lark et Termite est de ceux dans lesquels le lecteur entre sans même se retourner. » (Kathryn Harrison, The New York Times Book Review)
« Lark et Termite est une véritable ?uvre d?art, de cette littérature qui rend comparativement fades les autres romans, qui semble destinée à demeurer sur les étagères et dans le c?ur des lecteurs. [?] Ce n?est pas du réalisme magique, cela ressemble plus à ce que Toni Morrison et Louise Erdrich peuvent faire de mieux, utilisant le langage afin de découper de si près le c?ur humain que les différences entre nous sont effacées et que ne reste que ce qu?il y a de plus vrai. » (Malena Vatrous, The Wall Street Journal)
« J.A. Phillips écrit avec ses cinq sens, faisant attention - comme peu d?écrivains le font, à la vue, l?ouïe, le goût, le toucher et à l?odorat dans quasiment chaque phrase de son nouveau roman, extraordinaire et parfaitement construit. Une expérience de lecture forte, à la fois poétique et électrifiante. » (Heller Mc Alpin, Newsday)
Lark et Termite
Juillet 1950, Corée du Sud ; 1959, Virginie occidentale : quelques dizaines de milliers de kilomètres et neuf ans séparent les deux temps de ce récit à quatre voix. S?y succèdent celle du soldat Leavitt, à l?agonie au fond d?un tunnel après le « malencontreux » pilonnage par les Américains d?une colonne de réfugiés alliés qu?il encadrait ; celle de Nonie, sa belle-s?ur, une femme solide et généreuse qui a élevé sa nièce et son neveu après la disparition de leur mère ; celle de Lark, une adolescente courageuse qui ne se résoudra jamais à laisser partir son jeune frère, Termite, handicapé mental et moteur, pour une institution spécialisée ; celle de Termite, enfin, qui relève plus d?une musique intérieure : presque aveugle, il fait preuve d?une sensibilité hors du commun, attentif au moindre bruissement.
La tempête qui se déchaîne sur la paisible bourgade fait écho au déluge de mitraille qui s?abattit sur l?Extrême Orient. Tous les mystères s?évanouissent à l?instant même où ils commencent à planer : paternités, filiations, secrets des solitudes et des existences aliénées.
C?est la puissance délicate d?une écriture tout en réverbérations et en frémissements que de réussir à ravauder le tissu déchiré de correspondances entre sensations tactiles, sonorités et couleurs. Traversé de résonances chimériques qui vont bien au-delà de la chronique entreprise, Lark et Termite suggère tout un univers inattendu de fluctuations entre ici et là, hier et aujourd?hui. Répondant à l?entrelacs de terre et d?eau provoqué par l?inondation, le tangible cède le pas à la magie en un lieu où s?abolit la frontière entre père et fils, animaux et humains, passé et avenir, vivants et disparus.
Jayne Anne Phillips est née en 1952 en Virginie. Elle publié son premier recueil de nouvelles, Black Tickets, en 1979, et son premier roman, Machine Dreams, en 1984. Dès ses débuts, elle est remarquée par Nadine Gordimer et saluée par la critique. Jayne Anne Phillips a enseigné à Harvard, au Williams College ainsi qu'à la Boston University. Elle enseigne actuellement à l?université d?Etat du New Jersey.
« Lark et Termite est extraordinaire et lumineux. Ce n?est pas du simple Jayne Anne Phillips. C?est quelque chose de bien plus extraordinaire, une prouesse surprenante d?imagination. C?est le meilleur roman que j?ai lu cette année. » (Junot Diaz)
« Ce roman est taillé comme un diamant, avec la même authenticité abrupte et des éclairs de lumière. » (Alice Munro)
« Quel beau roman que celui-ci ! Son histoire est si riche et complexe, si élégamment écrite, si tendre, si convaincante, si incroyablement touchante. Je peux déclarer sans réserve ni hésitation que Lark et Termite est de loin le meilleur roman que j?ai lu ces cinq dernières années ou presque. » (Tim O?Brien)
« Jayne Anne Phillips a l?âme d?une artiste universelle. Dans Lark and Termite, elle est à l?apogée de ses capacités. Elle pénètre avec une authenticité absolue et avec compassion dans les c?urs et les sensibilités des membres d?une famille étonnante, dont l?histoire qui se déroule au milieu du XXe siècle se projette profondément sur nos vies du début du XXIe siècle. C?est un roman majeur de l?un des meilleurs auteurs américains. » (Robert Olen Butler)
« Par un surprenant mélange de poésie hallucinatoire et de réalisme courageux, Phillips essaye d?expliquer la transcendance de l?amour, cette unité qui règne parmi les gens qui se dévouent corps et âme et qui se propage au-delà du monde rationnel. Alors que le roman avance vers un crescendo de révélations déchirantes et de confrontations brutales, Phillips nous surprend encore avec une touche déconcertante de mysticisme et un final qui mélange désespoir et triomphe, naïveté et intuition spirituelle, une démonstration saisissante de « la façon dont, à la vitesse de l?éclair, les choses peuvent aller bien ou mal ». » (Ron Charles, The Washington Post)
« Dans le nouveau roman de J.A. Phillips, complexe et profondément sensible, résonnent des échos de Faulkner, Woolf, Kerouac, Mc Cullers et des reportages de guerre de Michael Herr. Ces influences extrêmement disparates se fondent dans un tout incandescent et parfaitement original. [?] Les répétitions d?images et les leitmotivs mettent en relation les histoires de ces gens, donnant au roman une qualité musicale lancinante, même lorsqu?elles suggèrent l?existence de liens inconscients, presque magiques, entre des gens connectés par le sang, l?amour ou la mémoire. » (Michiko Kakutani, The New York Times)
« J.A. Phillips parvient à rendre réaliste ce qui semble impossible, avec une autorité telle que le lecteur ne met jamais en doute la véracité de ses mots. C?est l?alchimie de la grande fiction : le rêve fantastique qui est créé dans Lark et Termite est de ceux dans lesquels le lecteur entre sans même se retourner. » (Kathryn Harrison, The New York Times Book Review)
« Lark et Termite est une véritable ?uvre d?art, de cette littérature qui rend comparativement fades les autres romans, qui semble destinée à demeurer sur les étagères et dans le c?ur des lecteurs. [?] Ce n?est pas du réalisme magique, cela ressemble plus à ce que Toni Morrison et Louise Erdrich peuvent faire de mieux, utilisant le langage afin de découper de si près le c?ur humain que les différences entre nous sont effacées et que ne reste que ce qu?il y a de plus vrai. » (Malena Vatrous, The Wall Street Journal)
« J.A. Phillips écrit avec ses cinq sens, faisant attention - comme peu d?écrivains le font, à la vue, l?ouïe, le goût, le toucher et à l?odorat dans quasiment chaque phrase de son nouveau roman, extraordinaire et parfaitement construit. Une expérience de lecture forte, à la fois poétique et électrifiante. » (Heller Mc Alpin, Newsday)Phillips, Jayne Anne (1952-....) - Paris : Christian Bourgois - DL 2009
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La maison des orphelins / Helen Dunmore (2007)
Titre : La maison des orphelins Type de document : texte imprimé Auteurs : Helen Dunmore (1952-....), Auteur ; Marc Amfreville (1957-....), Traducteur Editeur : Paris : Belfond Année de publication : 2007 Collection : Les étrangères Importance : 450 p. Format : 23 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7144-4263-5 Prix : 21.00 EUR Catégories : Finlande -- Romans.
Roman anglais
Roman d'éducationRésumé : Eeva est la fille d'un révolutionnaire finlandais. Placée dans un orphelinat à la suite de la mort de son père, elle devient la domestique d'un médecin de campagne et une étrange relation s'instaure entre eux. Elle choisit alors de partir à Helsinki rejoindre Lauri, le meilleur ami de son père. A son côté, elle découvre l'engagement politique. La maison des orphelins [texte imprimé] / Helen Dunmore (1952-....), Auteur ; Marc Amfreville (1957-....), Traducteur . - Belfond, 2007 . - 450 p. ; 23 x 14 cm. - (Les étrangères) .
ISBN : 978-2-7144-4263-5 : 21.00 EUR
Catégories : Finlande -- Romans.
Roman anglais
Roman d'éducationRésumé : Eeva est la fille d'un révolutionnaire finlandais. Placée dans un orphelinat à la suite de la mort de son père, elle devient la domestique d'un médecin de campagne et une étrange relation s'instaure entre eux. Elle choisit alors de partir à Helsinki rejoindre Lauri, le meilleur ami de son père. A son côté, elle découvre l'engagement politique.
La maison des orphelins
Eeva est la fille d'un révolutionnaire finlandais. Placée dans un orphelinat à la suite de la mort de son père, elle devient la domestique d'un médecin de campagne et une étrange relation s'instaure entre eux. Elle choisit alors de partir à Helsinki rejoindre Lauri, le meilleur ami de son père. A son côté, elle découvre l'engagement politique.
Dunmore, Helen (1952-....) - Paris : Belfond - 2007
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Date d'acquisition 30035006499040 R DUN M Livres Médiathèque de Liffré Romans Adulte Sorti jusqu'au 15/05/2018 Avis des lecteurs Aucun avis, ajoutez le vôtre !
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Nos disparus / Tim Gautreaux (2015)
Titre : Nos disparus : roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Tim Gautreaux (1947-....), Auteur ; Marc Amfreville (1957-....), Traducteur Editeur : Paris : Editions du Seuil Année de publication : 2015 Collection : Points Sous-collection : Grands Romans Importance : 1 vol. (570 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7578-5469-3 Prix : 8,40 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Américain (ame) Index. décimale : R Roman Adultes Résumé : Sam Simoneaux vient de passer trois ans en France à nettoyer les champs de bataille de la Grande Guerre. De retour à La Nouvelle-Orléans, traumatisé, il assiste impuissant à l'enlèvement d'une petite fille dans le magasin où il travaille. Sommé par les parents de retrouver leur enfant, il embarque à bord d'un bateau qui sillonne le Mississippi et ne tarde pas à mettre à jour un fructueux commerce d'enfants animé par quelques spécimens peu reluisants de la pègre des bayous. Nos disparus : roman [texte imprimé] / Tim Gautreaux (1947-....), Auteur ; Marc Amfreville (1957-....), Traducteur . - Editions du Seuil, 2015 . - 1 vol. (570 p.) ; 18 cm. - (Points. Grands Romans) .
ISBN : 978-2-7578-5469-3 : 8,40 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Américain (ame)
Index. décimale : R Roman Adultes Résumé : Sam Simoneaux vient de passer trois ans en France à nettoyer les champs de bataille de la Grande Guerre. De retour à La Nouvelle-Orléans, traumatisé, il assiste impuissant à l'enlèvement d'une petite fille dans le magasin où il travaille. Sommé par les parents de retrouver leur enfant, il embarque à bord d'un bateau qui sillonne le Mississippi et ne tarde pas à mettre à jour un fructueux commerce d'enfants animé par quelques spécimens peu reluisants de la pègre des bayous.
Nos disparus
Sam Simoneaux vient de passer trois ans en France à nettoyer les champs de bataille de la Grande Guerre. De retour à La Nouvelle-Orléans, traumatisé, il assiste impuissant à l'enlèvement d'une petite fille dans le magasin où il travaille. Sommé par les parents de retrouver leur enfant, il embarque à bord d'un bateau qui sillonne le Mississippi et ne tarde pas à mettre à jour un fructueux commerce d'enfants animé par quelques spécimens peu reluisants de la pègre des bayous.
Gautreaux, Tim (1947-....) - 2015
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à la réflexion / David Lodge (2003)
Titre : à la réflexion Type de document : texte imprimé Auteurs : David Lodge (1935-....), Auteur ; Marc Amfreville (1957-....), Traducteur Editeur : Paris : Payot et Rivages Année de publication : 2003 Collection : Bibliothèque Rivages Importance : 336 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7436-1185-9 Prix : 20 EUR Note générale : Réunit la trad. française de : "Write on" ; "The practice of writing" ; "Consciousness and the novel" Catégories : Création (esthétique) Index. décimale : R Roman Adultes à la réflexion [texte imprimé] / David Lodge (1935-....), Auteur ; Marc Amfreville (1957-....), Traducteur . - Payot et Rivages, 2003 . - 336 p. : couv. ill. en coul. ; 20 cm. - (Bibliothèque Rivages) .
ISBN : 978-2-7436-1185-9 : 20 EUR
Réunit la trad. française de : "Write on" ; "The practice of writing" ; "Consciousness and the novel"
Catégories : Création (esthétique) Index. décimale : R Roman Adultes
à la réflexion
Lodge, David (1935-....) - Paris : Payot et Rivages - 2003
Réunit la trad. française de : "Write on" ; "The practice of writing" ; "Consciousness and the novel"
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Date d'acquisition 16228 R LOD a Livres Médiathèque de Liffré Romans Adulte Disponible Avis des lecteurs Aucun avis, ajoutez le vôtre !
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Sur les jantes / Thomas McGuane (DL 2012)
Titre : Sur les jantes Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas McGuane (1939-....), Auteur ; Marc Amfreville (1957-....), Traducteur Editeur : Paris : Christian Bourgois Année de publication : DL 2012 Importance : 1 vol. (494 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-267-02277-3 Prix : 23 EUR Index. décimale : R Roman Adultes Résumé : Je suis Berl Pickett, le Dr Berl Pickett.
Mais je signe chèques et documents I. B. Pickett , et il faut sans doute que je m'en explique. Ma mère, une femme énergique s'il en fut, ardente patriote et chrétienne évangélique, choisit mes prénoms en l'honneur du compositeur de God Bless America. C'est ainsi que je m'appelle en réalité Irving Berlin Pickett, et que je suis parfaitement conscient du caractère ridicule de mon nom. Mon père aurait préféré Lefty Frizzell Pickett , et c'eût été encore pire.
En tout état de cause, mon nom, comme ma vie même, a quelque chose d'une reprise, d'un emprunt, difficile à contester. Sur les jantes est sans doute le roman le plus tendre, le plus subtil de Thomas McGuane depuis longtemps. Berl Pickett est médecin à Livingston, petite ville du Montana. Il y mène une vie plutôt calme jusqu'au jour où, pensant venir en aide à l'une de ses amies, il s'efforce de camoufler sa tentative de suicide.
C'est le début d'une série de péripéties complexes puisque, lorsque cette dernière succombe à ses blessures, il devient le principal suspect, se voit interdit d'exercer et encourt le risque d'être poursuivi pour non assistance à personne en danger. Disposant désormais de beaucoup de temps libre, Berl reprend son activité antérieure : peintre en bâtiments. Entre les missions qui lui sont confiées, il a tout loisir pour se replonger sur son passé et se remémorer les événements qui ont marqué son passage à l'âge adulte : comment, à l'âge de 14 ans, sa tante l'a initié à la vie amoureuse en se chargeant de lui apprendre les choses de la vie ; le comportement de sa mère, profondément conditionné par ses croyances : Sa religion avait entouré ma mère d'une impénétrable réalité, et la guerre avait eu le même effet sur mon père.
J'éprouvais le sentiment qu'au fond j'avais toujours été seul depuis ma naissance. ; le médecin qui, très tôt, a repéré le potentiel en lui et grâce auquel il a trouvé sa voie professionnelle ; les aventures qu'il a eues avec quelques femmes : Jocelyn, une pilote aux activités suspectes dont il s'est pris de passion, et une collègue, Jinx Mayhall, beauté tranquille qui le déconcerte par les questions insidieuses et sans motif qu'elle lui pose incessamment : Elle soupirait sans arrêt et paraissait troublée.
Finalement, elle tendit la main et prit la mienne. J'aurais du mal à décrire ce que je ressentis : le souffle coupé, je fixai droit devant moi les collines désertes couvertes d'armoise. Elle me lâcha la main et reposa la sienne sur le volant. Je lui demandai à quoi elle pensait et elle répondit : Au car de ramassage scolaire . ou encore : C'était dommage, parce que j'étais un homme de nature affectueuse qui tombait facilement amoureux, et j'aurais pu connaître des expériences enrichissantes si je ne m'étais pas constamment méfié aux moments les plus agréables.
Face aux man?uvres vengeresses du directeur administratif de la clinique où il travaille, l'accusation qui pèse sur lui de non assistance à personne en danger, les activités louches et inquiétantes de l'aviatrice, et surtout les conséquences d'une affaire où il a poussé au suicide le mari assassin d'une de ses patientes, Berl, poursuivi par la calomnie et abandonné par presque tous ses collègues et amis, s'efforce de prendre de la distance vis-à-vis des différentes épreuves de son existence.
Entre comédie et tragédie, McGuane ancre son récit dans une région qu'il connaît bien pour l'avoir lui-même traversée, ce qui lui permet de mettre l'accent sur les décalages au sein d'une société disparate et moderne où l'on réalise que son héros est coupé du monde, qu'en voulant prendre un avion le 11 septembre 2001 ce n'est que lorsqu'il arrive à l'aéroport qu'on lui dira que les vols sont suspendus.
Si la satire des égoïsmes est partout présente, le rire le dispute à l'émotion, comme toujours chez McGuane, exprimée en demi-teintes, mais néanmoins palpable.Sur les jantes [texte imprimé] / Thomas McGuane (1939-....), Auteur ; Marc Amfreville (1957-....), Traducteur . - Paris : Christian Bourgois, DL 2012 . - 1 vol. (494 p.) : couv. ill. en coul. ; 20 cm.
ISBN : 978-2-267-02277-3 : 23 EUR
Index. décimale : R Roman Adultes Résumé : Je suis Berl Pickett, le Dr Berl Pickett.
Mais je signe chèques et documents I. B. Pickett , et il faut sans doute que je m'en explique. Ma mère, une femme énergique s'il en fut, ardente patriote et chrétienne évangélique, choisit mes prénoms en l'honneur du compositeur de God Bless America. C'est ainsi que je m'appelle en réalité Irving Berlin Pickett, et que je suis parfaitement conscient du caractère ridicule de mon nom. Mon père aurait préféré Lefty Frizzell Pickett , et c'eût été encore pire.
En tout état de cause, mon nom, comme ma vie même, a quelque chose d'une reprise, d'un emprunt, difficile à contester. Sur les jantes est sans doute le roman le plus tendre, le plus subtil de Thomas McGuane depuis longtemps. Berl Pickett est médecin à Livingston, petite ville du Montana. Il y mène une vie plutôt calme jusqu'au jour où, pensant venir en aide à l'une de ses amies, il s'efforce de camoufler sa tentative de suicide.
C'est le début d'une série de péripéties complexes puisque, lorsque cette dernière succombe à ses blessures, il devient le principal suspect, se voit interdit d'exercer et encourt le risque d'être poursuivi pour non assistance à personne en danger. Disposant désormais de beaucoup de temps libre, Berl reprend son activité antérieure : peintre en bâtiments. Entre les missions qui lui sont confiées, il a tout loisir pour se replonger sur son passé et se remémorer les événements qui ont marqué son passage à l'âge adulte : comment, à l'âge de 14 ans, sa tante l'a initié à la vie amoureuse en se chargeant de lui apprendre les choses de la vie ; le comportement de sa mère, profondément conditionné par ses croyances : Sa religion avait entouré ma mère d'une impénétrable réalité, et la guerre avait eu le même effet sur mon père.
J'éprouvais le sentiment qu'au fond j'avais toujours été seul depuis ma naissance. ; le médecin qui, très tôt, a repéré le potentiel en lui et grâce auquel il a trouvé sa voie professionnelle ; les aventures qu'il a eues avec quelques femmes : Jocelyn, une pilote aux activités suspectes dont il s'est pris de passion, et une collègue, Jinx Mayhall, beauté tranquille qui le déconcerte par les questions insidieuses et sans motif qu'elle lui pose incessamment : Elle soupirait sans arrêt et paraissait troublée.
Finalement, elle tendit la main et prit la mienne. J'aurais du mal à décrire ce que je ressentis : le souffle coupé, je fixai droit devant moi les collines désertes couvertes d'armoise. Elle me lâcha la main et reposa la sienne sur le volant. Je lui demandai à quoi elle pensait et elle répondit : Au car de ramassage scolaire . ou encore : C'était dommage, parce que j'étais un homme de nature affectueuse qui tombait facilement amoureux, et j'aurais pu connaître des expériences enrichissantes si je ne m'étais pas constamment méfié aux moments les plus agréables.
Face aux man?uvres vengeresses du directeur administratif de la clinique où il travaille, l'accusation qui pèse sur lui de non assistance à personne en danger, les activités louches et inquiétantes de l'aviatrice, et surtout les conséquences d'une affaire où il a poussé au suicide le mari assassin d'une de ses patientes, Berl, poursuivi par la calomnie et abandonné par presque tous ses collègues et amis, s'efforce de prendre de la distance vis-à-vis des différentes épreuves de son existence.
Entre comédie et tragédie, McGuane ancre son récit dans une région qu'il connaît bien pour l'avoir lui-même traversée, ce qui lui permet de mettre l'accent sur les décalages au sein d'une société disparate et moderne où l'on réalise que son héros est coupé du monde, qu'en voulant prendre un avion le 11 septembre 2001 ce n'est que lorsqu'il arrive à l'aéroport qu'on lui dira que les vols sont suspendus.
Si la satire des égoïsmes est partout présente, le rire le dispute à l'émotion, comme toujours chez McGuane, exprimée en demi-teintes, mais néanmoins palpable.
Sur les jantes
Je suis Berl Pickett, le Dr Berl Pickett.
Mais je signe chèques et documents I. B. Pickett , et il faut sans doute que je m'en explique. Ma mère, une femme énergique s'il en fut, ardente patriote et chrétienne évangélique, choisit mes prénoms en l'honneur du compositeur de God Bless America. C'est ainsi que je m'appelle en réalité Irving Berlin Pickett, et que je suis parfaitement conscient du caractère ridicule de mon nom. Mon père aurait préféré Lefty Frizzell Pickett , et c'eût été encore pire.
En tout état de cause, mon nom, comme ma vie même, a quelque chose d'une reprise, d'un emprunt, difficile à contester. Sur les jantes est sans doute le roman le plus tendre, le plus subtil de Thomas McGuane depuis longtemps. Berl Pickett est médecin à Livingston, petite ville du Montana. Il y mène une vie plutôt calme jusqu'au jour où, pensant venir en aide à l'une de ses amies, il s'efforce de camoufler sa tentative de suicide.
C'est le début d'une série de péripéties complexes puisque, lorsque cette dernière succombe à ses blessures, il devient le principal suspect, se voit interdit d'exercer et encourt le risque d'être poursuivi pour non assistance à personne en danger. Disposant désormais de beaucoup de temps libre, Berl reprend son activité antérieure : peintre en bâtiments. Entre les missions qui lui sont confiées, il a tout loisir pour se replonger sur son passé et se remémorer les événements qui ont marqué son passage à l'âge adulte : comment, à l'âge de 14 ans, sa tante l'a initié à la vie amoureuse en se chargeant de lui apprendre les choses de la vie ; le comportement de sa mère, profondément conditionné par ses croyances : Sa religion avait entouré ma mère d'une impénétrable réalité, et la guerre avait eu le même effet sur mon père.
J'éprouvais le sentiment qu'au fond j'avais toujours été seul depuis ma naissance. ; le médecin qui, très tôt, a repéré le potentiel en lui et grâce auquel il a trouvé sa voie professionnelle ; les aventures qu'il a eues avec quelques femmes : Jocelyn, une pilote aux activités suspectes dont il s'est pris de passion, et une collègue, Jinx Mayhall, beauté tranquille qui le déconcerte par les questions insidieuses et sans motif qu'elle lui pose incessamment : Elle soupirait sans arrêt et paraissait troublée.
Finalement, elle tendit la main et prit la mienne. J'aurais du mal à décrire ce que je ressentis : le souffle coupé, je fixai droit devant moi les collines désertes couvertes d'armoise. Elle me lâcha la main et reposa la sienne sur le volant. Je lui demandai à quoi elle pensait et elle répondit : Au car de ramassage scolaire . ou encore : C'était dommage, parce que j'étais un homme de nature affectueuse qui tombait facilement amoureux, et j'aurais pu connaître des expériences enrichissantes si je ne m'étais pas constamment méfié aux moments les plus agréables.
Face aux man?uvres vengeresses du directeur administratif de la clinique où il travaille, l'accusation qui pèse sur lui de non assistance à personne en danger, les activités louches et inquiétantes de l'aviatrice, et surtout les conséquences d'une affaire où il a poussé au suicide le mari assassin d'une de ses patientes, Berl, poursuivi par la calomnie et abandonné par presque tous ses collègues et amis, s'efforce de prendre de la distance vis-à-vis des différentes épreuves de son existence.
Entre comédie et tragédie, McGuane ancre son récit dans une région qu'il connaît bien pour l'avoir lui-même traversée, ce qui lui permet de mettre l'accent sur les décalages au sein d'une société disparate et moderne où l'on réalise que son héros est coupé du monde, qu'en voulant prendre un avion le 11 septembre 2001 ce n'est que lorsqu'il arrive à l'aéroport qu'on lui dira que les vols sont suspendus.
Si la satire des égoïsmes est partout présente, le rire le dispute à l'émotion, comme toujours chez McGuane, exprimée en demi-teintes, mais néanmoins palpable.McGuane, Thomas (1939-....) - Paris : Christian Bourgois - DL 2012
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