Titre : | La femme du tigre : roman | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Téa Obreht (1985-....), Auteur ; Marie Boudewyn, Traducteur | Editeur : | Paris : Calmann-Lévy | Année de publication : | impr. 2011 | Importance : | 1 vol. (331 p.) | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 23 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7021-4246-2 | Prix : | 20,50 EUR | Index. décimale : | R Roman Adultes | Résumé : | Tout est mort dans sa mémoire, hormis la femme du tigre, alors il se lance à sa recherche, certains soirs, en poussant un cri, une note tendue dont l'intensité décroît à n'en plus finir. Une note solitaire, grave, que plus personne n'entend.
Dans un pays des Balkans qui se remet douloureusement d'un siècle de guerres, Natalia, jeune médecin, est venue vacciner les pensionnaires d'un orphelinat. Autour d'elle, tout n'est que superstitions. Les épidémies seraient des malédictions, les morts, des forces vives. Ces croyances absurdes, Natalia les rattache aux contes que lui a transmis son grand-père. Lorsqu'elle était enfant, toutes les semaines, il l'emmenait au zoo et lui lisait des passages du Livre de la jungle, dont il ne se séparait jamais. Plus tard, il lui raconta ses rencontres avec l'homme-qui-ne-mourra-pas, un vagabond soi-disant immortel. Quant à l'histoire la plus extraordinaire, celle du tigre, de la sourde-muette et du petit garçon de neuf ans, il l'avait gardée pour lui. Un mystère plus douloureux, plus intime, vient alors s'ajouter au faisceau des légendes. En cherchant à l'élucider, Natalia comprendra les errements des générations passées, et les travers de la sienne.
Confrontant le folklore et la modernité, Téa Obreht raconte les massacres, la haine, le soupçon et la lente reconstruction de l'ex-Yougoslavie. Avec ce premier roman écrit à tout juste vingt-cinq ans, elle s'impose en héritière d'Isaac Bashevis Singer ou de Gabriel Garc?a MÆrquez.
« Le premier roman stupéfiant de Téa Obreht est une ?uvre extrêmement ambitieuse, écrite avec audace, qui dépeint un tableau indélébile [...]. » The New York Times |
La femme du tigre : roman [texte imprimé] / Téa Obreht (1985-....), Auteur ; Marie Boudewyn, Traducteur . - Paris : Calmann-Lévy, impr. 2011 . - 1 vol. (331 p.) : couv. ill. en coul. ; 23 cm. ISBN : 978-2-7021-4246-2 : 20,50 EUR Index. décimale : | R Roman Adultes | Résumé : | Tout est mort dans sa mémoire, hormis la femme du tigre, alors il se lance à sa recherche, certains soirs, en poussant un cri, une note tendue dont l'intensité décroît à n'en plus finir. Une note solitaire, grave, que plus personne n'entend.
Dans un pays des Balkans qui se remet douloureusement d'un siècle de guerres, Natalia, jeune médecin, est venue vacciner les pensionnaires d'un orphelinat. Autour d'elle, tout n'est que superstitions. Les épidémies seraient des malédictions, les morts, des forces vives. Ces croyances absurdes, Natalia les rattache aux contes que lui a transmis son grand-père. Lorsqu'elle était enfant, toutes les semaines, il l'emmenait au zoo et lui lisait des passages du Livre de la jungle, dont il ne se séparait jamais. Plus tard, il lui raconta ses rencontres avec l'homme-qui-ne-mourra-pas, un vagabond soi-disant immortel. Quant à l'histoire la plus extraordinaire, celle du tigre, de la sourde-muette et du petit garçon de neuf ans, il l'avait gardée pour lui. Un mystère plus douloureux, plus intime, vient alors s'ajouter au faisceau des légendes. En cherchant à l'élucider, Natalia comprendra les errements des générations passées, et les travers de la sienne.
Confrontant le folklore et la modernité, Téa Obreht raconte les massacres, la haine, le soupçon et la lente reconstruction de l'ex-Yougoslavie. Avec ce premier roman écrit à tout juste vingt-cinq ans, elle s'impose en héritière d'Isaac Bashevis Singer ou de Gabriel Garc?a MÆrquez.
« Le premier roman stupéfiant de Téa Obreht est une ?uvre extrêmement ambitieuse, écrite avec audace, qui dépeint un tableau indélébile [...]. » The New York Times |
La femme du tigre
Tout est mort dans sa mémoire, hormis la femme du tigre, alors il se lance à sa recherche, certains soirs, en poussant un cri, une note tendue dont l'intensité décroît à n'en plus finir. Une note solitaire, grave, que plus personne n'entend.
Dans un pays des Balkans qui se remet douloureusement d'un siècle de guerres, Natalia, jeune médecin, est venue vacciner les pensionnaires d'un orphelinat. Autour d'elle, tout n'est que superstitions. Les épidémies seraient des malédictions, les morts, des forces vives. Ces croyances absurdes, Natalia les rattache aux contes que lui a transmis son grand-père. Lorsqu'elle était enfant, toutes les semaines, il l'emmenait au zoo et lui lisait des passages du Livre de la jungle, dont il ne se séparait jamais. Plus tard, il lui raconta ses rencontres avec l'homme-qui-ne-mourra-pas, un vagabond soi-disant immortel. Quant à l'histoire la plus extraordinaire, celle du tigre, de la sourde-muette et du petit garçon de neuf ans, il l'avait gardée pour lui. Un mystère plus douloureux, plus intime, vient alors s'ajouter au faisceau des légendes. En cherchant à l'élucider, Natalia comprendra les errements des générations passées, et les travers de la sienne.
Confrontant le folklore et la modernité, Téa Obreht raconte les massacres, la haine, le soupçon et la lente reconstruction de l'ex-Yougoslavie. Avec ce premier roman écrit à tout juste vingt-cinq ans, elle s'impose en héritière d'Isaac Bashevis Singer ou de Gabriel Garc?a MÆrquez.
« Le premier roman stupéfiant de Téa Obreht est une ?uvre extrêmement ambitieuse, écrite avec audace, qui dépeint un tableau indélébile [...]. » The New York Times
Obreht, Téa (1985-....) -
Paris : Calmann-Lévy - impr. 2011
|
| |